Le 20 novembre 1989, les responsables politiques du monde entier signaient la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE).
Socle de l’action d’UNICEF et traité relatif aux droits humains le plus largement ratifié de l’histoire avec 195 États signataires, ce texte international adopté à l’unanimité par l’Assemblée générale des Nations unies garantit le droit de chaque enfant à survivre, se développer, s’épanouir, apprendre et se réaliser.
Depuis, en cette date-clé du 20 novembre, nous célébrons les droits des enfants, les encourageons à faire entendre leur voix et appelons les adultes du monde entier à les écouter et à agir pour leur offrir un avenir plus égalitaire et plus juste.
Chaque année, la journée mondiale de l’enfance vise à rappeler l’importance de garantir et faire respecter les droits de chaque enfant, et aujourd’hui encore plus encore dans le monde incertain dans lequel nous vivons.
La crise sanitaire de Covid-19, qui bouleverse depuis près de deux ans notre société, fait peser des menaces considérables sur les enfants, sur leur sécurité, leur bien-être, leur avenir et leurs droits. Ils sont victimes invisibles de la pandémie.
A ce moment critique de l’histoire, plus que jamais, nous devons rester solidaires et nous mobiliser pour que cette Journée mondiale de l’enfance remette les droits de l’enfant au coeur de toutes les priorités.
Le monde change et l’enfance évolue avec lui. Nous devons nous aussi évoluer avec eux. Parce que depuis 75 ans, la raison d’être d’UNICEF est de bâtir un monde meilleur pour chaque enfant.